Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Opacité dans les recrutements dans les universités publiques du Burkina : Un autre témoignage accablant
28 novembre 2017, 13:33, par
Diallo
Le maximum de la petitesse de notre université se trouve au niveau de la faculté de médecine. Sous l’incompétence du CAMES les facultés de médecine ne peuvent recruter que des médecins et pharmaciens pour la santé publique. Ce qui est le maximum de l’incompétence dans la mesure où la santé publique n’est pas de la médecine. Du coup, nos Universités francophones n’ont jamais pu former de bon acteurs de santé publique. Notre situation sanitaire en est le reflet.
Assis dans leur naïveté ou plutôt leur hypocrisie, des enseignants de la faculté de médecine croient que c’est eux qui comprennent la santé publique. Quand ils ont voulu créer leurs programmes de santé publique, impudiquement ils se sont sentis obligés d’aller chercher les différentes compétences dans les autres domaines pour les appuyer sans jamais vouloir leur accorder une place dans leur faculté. Quand la question est évoquée ils disent sans vergogne que le CAMES les empêche et quand ils arrivent au niveau des sessions du CAMES, c’est eux qui empêchent le CAMES d’évoluer. Qu’elle honte !
Le maximum de la petitesse de notre université se trouve au niveau de la faculté de médecine. Sous l’incompétence du CAMES les facultés de médecine ne peuvent recruter que des médecins et pharmaciens pour la santé publique. Ce qui est le maximum de l’incompétence dans la mesure où la santé publique n’est pas de la médecine. Du coup, nos Universités francophones n’ont jamais pu former de bon acteurs de santé publique. Notre situation sanitaire en est le reflet.
Assis dans leur naïveté ou plutôt leur hypocrisie, des enseignants de la faculté de médecine croient que c’est eux qui comprennent la santé publique. Quand ils ont voulu créer leurs programmes de santé publique, impudiquement ils se sont sentis obligés d’aller chercher les différentes compétences dans les autres domaines pour les appuyer sans jamais vouloir leur accorder une place dans leur faculté. Quand la question est évoquée ils disent sans vergogne que le CAMES les empêche et quand ils arrivent au niveau des sessions du CAMES, c’est eux qui empêchent le CAMES d’évoluer. Qu’elle honte !