« Salifou Diallo est resté un an sans salaire à son retour de Vienne », selon l’historien Jean Marc Palm
22 août 2017, 14:32, par
TIENFO
Je souscris entièrement aux propos de l’internaute "2" Adama et de l’internaute "3" SAWADOGO. Évitons de verser dans le griotisme en ce moment de recueillement. Pour quelqu’un qui n’a pas de matricule et qui travaille dans la fonction publique est déjà une situation anormale à dénoncer. C’est comme si vous demander de servir un salaire à un paysan ou chômeur de retour d’un poste de nomination à l’étranger. En effet, il ne peut même pas prétendre à un salaire de quelque nature que ce soit. A force de vouloir faire les louanges de l’indéfendable, vous (les woba woba) vous risquez au lieu de parler en bien du regretté Salifou DIALLO, de mettre ses défaillances en exergue. Au lieu de servir sa mémoire, vous risquez de la desservir. A bon entendeur salut. Que cette terre du Burkina Faso qu’il a servi lui soit légère.
Je souscris entièrement aux propos de l’internaute "2" Adama et de l’internaute "3" SAWADOGO. Évitons de verser dans le griotisme en ce moment de recueillement. Pour quelqu’un qui n’a pas de matricule et qui travaille dans la fonction publique est déjà une situation anormale à dénoncer. C’est comme si vous demander de servir un salaire à un paysan ou chômeur de retour d’un poste de nomination à l’étranger. En effet, il ne peut même pas prétendre à un salaire de quelque nature que ce soit. A force de vouloir faire les louanges de l’indéfendable, vous (les woba woba) vous risquez au lieu de parler en bien du regretté Salifou DIALLO, de mettre ses défaillances en exergue. Au lieu de servir sa mémoire, vous risquez de la desservir. A bon entendeur salut. Que cette terre du Burkina Faso qu’il a servi lui soit légère.