Affaire Djibrill Bassolé : « A l’ONU, tout est une question d’influence », Windata Zongo, chargé de programme au CAARDIS

2 1, je te comprends, je ne suis spécialiste, mais je pense que les journalistes enlèvent la partie qui peut inciter à la lecture pour afficher comme titre. Sans doute que le fait d’avoir titré sur Djibril Bassolé attire plus de lecteurs, étant donné l’intérêt que suscite le dossier. Je me dis que ce n’est pas mal donc, et même qu’à mon avis c’est très bien vu parce que le développement que Monsieur ZONGO a fait dans cette partie est certes bref mais plein d’enseignements.