Enseignement supérieur au Burkina : Cent (100) postes d’assistants et (47) postes d’attachés et d’ingénieurs de recherche à pourvoir
26 juin 2017, 12:02, par
Hussein
Hamane, je vois que nous sommes d’accord sur certains points : cultiver une identité culturelle africaine et adapter les technologies aux besoins du développement des nations africaines ainsi que de l’unité africaine. Mais jette un coup d’oeil aux profils recherchés par le CNRST si-haut. Y a-t’il un seul poste pour enseigner et mener der recherches sur une langue nationale ? Et pourquoi vos universités africaines depuis plus de cinquante ans n’ont jamais pensé à s’imposer une langue africaine et à adapter la mentalité africaine ? Cheikh Anta Diop a beaucoup écrit sur tout ce dont tu as parlé plus haut déja même avant l’ accession aux indépendences des pays. Qu’est-ce que vous les Hommes des lettres, des sciences humaines et sociales en avez fait pour le bonheur des nations africaines jusqu’aujoud’hui ? Le débat est fort intéressant mais on ne peut pas le continuer ainsi. Laisse moi un numéro si cela te dit, quand je serai de passage à Ouaga je m’annoncerai pour qu’on puisse le développer. Salut, paix et joie !
Hamane, je vois que nous sommes d’accord sur certains points : cultiver une identité culturelle africaine et adapter les technologies aux besoins du développement des nations africaines ainsi que de l’unité africaine. Mais jette un coup d’oeil aux profils recherchés par le CNRST si-haut. Y a-t’il un seul poste pour enseigner et mener der recherches sur une langue nationale ? Et pourquoi vos universités africaines depuis plus de cinquante ans n’ont jamais pensé à s’imposer une langue africaine et à adapter la mentalité africaine ? Cheikh Anta Diop a beaucoup écrit sur tout ce dont tu as parlé plus haut déja même avant l’ accession aux indépendences des pays. Qu’est-ce que vous les Hommes des lettres, des sciences humaines et sociales en avez fait pour le bonheur des nations africaines jusqu’aujoud’hui ? Le débat est fort intéressant mais on ne peut pas le continuer ainsi. Laisse moi un numéro si cela te dit, quand je serai de passage à Ouaga je m’annoncerai pour qu’on puisse le développer. Salut, paix et joie !