Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Interdiction des activités des Kogl-wéogo dans le Boulkiemdé et le Sanguié
22 mai 2017, 09:32, par
Ka
Mon ami Kôrô yamyélé, toi et moi nous connaissons bien ce qui se cache derrière cette guéguerre entre les Kolgwéogo économique de la ville de Koudougou et les habitants de Tialgo qui gardent leurs continuités des coutumes incontournables. Des coutumes que les jeunes Kolgweogo veulent casser le tabou. Toi et moi nous connaissons que les vols dans ces coins n’ont pas de noms ’’’Vols,’’’ mais je viens prendre si tu le veux, ou même si tu le veux pas. Souvent dans ce coin tout est invisible : ‘’’Dans le temps, on te vole en face sans que tu le sache, car la personne est invisible. Pour te dire que nous connaissons que les vols dans ce coin sont très réputés, mais qui restent en sorte une coutume. Dans le temps, des bergers ont vu leurs bœufs partir sans voir le voleur, des maris qui se lèvent le matin et leur épouse envolée, et tous ceux-ci ne sont pas des histoires, mais la puissance du fatalisme d’un coin qu’il ne faut pas ignoré, ou tu te fait avoir. Je demande à l’état de prendre cette histoire au sérieux, car dans ce coin, les habitants ont conservé un autre esprit dû aux continuités qui renforcent le fatalisme dans leurs milieux.
Mon ami Kôrô yamyélé, toi et moi nous connaissons bien ce qui se cache derrière cette guéguerre entre les Kolgwéogo économique de la ville de Koudougou et les habitants de Tialgo qui gardent leurs continuités des coutumes incontournables. Des coutumes que les jeunes Kolgweogo veulent casser le tabou. Toi et moi nous connaissons que les vols dans ces coins n’ont pas de noms ’’’Vols,’’’ mais je viens prendre si tu le veux, ou même si tu le veux pas. Souvent dans ce coin tout est invisible : ‘’’Dans le temps, on te vole en face sans que tu le sache, car la personne est invisible. Pour te dire que nous connaissons que les vols dans ce coin sont très réputés, mais qui restent en sorte une coutume. Dans le temps, des bergers ont vu leurs bœufs partir sans voir le voleur, des maris qui se lèvent le matin et leur épouse envolée, et tous ceux-ci ne sont pas des histoires, mais la puissance du fatalisme d’un coin qu’il ne faut pas ignoré, ou tu te fait avoir. Je demande à l’état de prendre cette histoire au sérieux, car dans ce coin, les habitants ont conservé un autre esprit dû aux continuités qui renforcent le fatalisme dans leurs milieux.