Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Incidents entre Kogl-wéogo et populations de Ténado : le gouvernement réagit
22 mai 2017, 09:10, par
Buudu
Toute mort de plus est une mort de trop dans notre pays qui a tend perdu des fils ces deux dernières années. C’est vrai que ces groupes d’auto-défenses font souvent dans l’excès voire dans l’abu et c’est condamnable. Nul n’a le droit d’agir à l’encontre du droit positif au Burkina. Si dans cette épopée des gens ont enfreint la loi, elle doit s’appliquer avec rigueur car nul n’est au dessus de la loi. Cependant contrairement à ceux qui soutiennent leur dissolution pure et simple, moi j’estime que c’est le besoin qui a créé l’organe. C’est l’incapacité de l’Etat à assurer la sécurité des personnes et des biens qui est à l’origine de la naissance de ces groupes d’auto-défense. Il est facile de rester dans un bureau et de charger ces groupes d’auto-défense. Allez dans les villages et vous comprendrez que ces groupes sont d’une nécessité vitale pour les paysans qui se faisaient spolier de leurs biens par une nouvelles race de jeunes sans foi ni loi. La bonne question ce n’est point doit-on dissoudre les groupes d’auto-défenses dans cette situation d’incapacité de l’Etat à protéger tous les Burkinabè, mais comment doit-on les encadrer pour qu’ils soient plus utiles à notre chère patrie dans le respect des normes en vigueur. Que Dieu protège le Burkina.
Toute mort de plus est une mort de trop dans notre pays qui a tend perdu des fils ces deux dernières années. C’est vrai que ces groupes d’auto-défenses font souvent dans l’excès voire dans l’abu et c’est condamnable. Nul n’a le droit d’agir à l’encontre du droit positif au Burkina. Si dans cette épopée des gens ont enfreint la loi, elle doit s’appliquer avec rigueur car nul n’est au dessus de la loi. Cependant contrairement à ceux qui soutiennent leur dissolution pure et simple, moi j’estime que c’est le besoin qui a créé l’organe. C’est l’incapacité de l’Etat à assurer la sécurité des personnes et des biens qui est à l’origine de la naissance de ces groupes d’auto-défense. Il est facile de rester dans un bureau et de charger ces groupes d’auto-défense. Allez dans les villages et vous comprendrez que ces groupes sont d’une nécessité vitale pour les paysans qui se faisaient spolier de leurs biens par une nouvelles race de jeunes sans foi ni loi. La bonne question ce n’est point doit-on dissoudre les groupes d’auto-défenses dans cette situation d’incapacité de l’Etat à protéger tous les Burkinabè, mais comment doit-on les encadrer pour qu’ils soient plus utiles à notre chère patrie dans le respect des normes en vigueur. Que Dieu protège le Burkina.