Insécurité au Sahel : Le gouvernement exhorte les acteurs de l’éducation à ne pas céder à la psychose

Braves enseignants, c’est vrai que la situation n’est pas des plus rassurantes, mais abandonner les postes c’est aller dans le sens souhaité de ces fous aliénés térroristes. On moura tous un jour tôt ou tard, au Soum ou à Gaoua, à l’hopital, en circulation, au bureau, bref, cela est une certitude. Mais entre mourir dans l’anonymat total et sans imprimer son empreinte sur le rouleau de l’Histoire, sans donner un sens à sa mort, et mourir pour sa vocation, ses conviction et surtout pour sa patrie, je préfère le deuxième cas ! C’est bien ce que nous apprenons à nos élèves quand nous clamons, le poing levé, LA PATRIE OU LA MORT NOUS VAINCRONS ! Alors, à nos postes car nous sommes des soldats, des commandos contre l’ignorance et l’analphabétisme ! Que Dieu nous protège et advienne que pourra !