Crise Dozo/Koglweogo : La résultante d’une hypocrisie ‘’collective’’ !
10 janvier 2017, 11:52, par
Un observateur
Dans certains pays de l’Afrique Noire comme en Centrafrique, au Rwanda, les groupes d’auto défense ont une part de responsabilité dans les guerres civiles qui ont occasionné des milliers si non des millions de victimes.
Au Burkina Faso, la création des groupes d’auto-défense dénommés Koglweogo a été saluée par les autorités politiques dont le ministre en charge de la décentralisation et de la sécurité intérieure (Simon Compaoré) qui se verra attribué le surnom de << Chef suprême des Koglweogo>>. La Société Civile est "muette" et "subit". On assiste voire cautionne les dérives de ces Koglweogo au motif que les FDS n’ont pas les moyens nécessaires ou la capacité pour éradiquer le banditisme dans notre pays.
Si rien n’est fait pour arrêter les agissements hors la loi et inhumains (moral comme physique) de ces Koglweogo, les conséquences seront incalculables et regrettables pour le Faso.
A bon entendeur, salut !
Dans certains pays de l’Afrique Noire comme en Centrafrique, au Rwanda, les groupes d’auto défense ont une part de responsabilité dans les guerres civiles qui ont occasionné des milliers si non des millions de victimes.
Au Burkina Faso, la création des groupes d’auto-défense dénommés Koglweogo a été saluée par les autorités politiques dont le ministre en charge de la décentralisation et de la sécurité intérieure (Simon Compaoré) qui se verra attribué le surnom de << Chef suprême des Koglweogo>>. La Société Civile est "muette" et "subit". On assiste voire cautionne les dérives de ces Koglweogo au motif que les FDS n’ont pas les moyens nécessaires ou la capacité pour éradiquer le banditisme dans notre pays.
Si rien n’est fait pour arrêter les agissements hors la loi et inhumains (moral comme physique) de ces Koglweogo, les conséquences seront incalculables et regrettables pour le Faso.
A bon entendeur, salut !