Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Crise Dozo/Koglweogo : La résultante d’une hypocrisie ‘’collective’’ !
10 janvier 2017, 09:16, par
KOUKA
Yiriba, tu parles de" voleurs (sans véritables armes) de motocyclettes ou de chèvres", est-ce que tu vis vraiment au Burkina Faso, toi ? Non, tu ne vis pas au Burkina Faso et tu ne sais certainement pas grand chose du Burkina Faso, voilà pourquoi tu parles de" voleurs (sans véritables armes) de motocyclettes ou de chèvres". Pourtant, même si tu ne vis pas au Burkina Faso, au mois tu dois pouvoir lire l’actualité sur le Burkina Faso, surtout sur ses aspects sécuritaires. Les motocyclettes dont tu parles, le fonctionnaire moyen de "brousse" se saigne en contractant des prêts sur 3 à 5 ans pour l’acquérir. C’est aussi du produit de la vente de ses chèvres que le pauvre paysan scolarise ses enfants ! Si pour toi des motocyclettes et des chèvres sont des choses absolument insignifiantes et sans valeurs, pour la très grande majorité des burkinabè, c’est vital. Les forces de l’ordre et de sécurité ont bien montré leurs limites et leur inefficacité dans la sécurisation des biens et des personnes dans beaucoup de localités du pays. Visites certaines régions et provinces (Est, Sissili, etc.) du Burkina, autrefois des localités à haut risque d’insécurité, elles sont aujourd’hui presque des "havres de paix", dû à l’efficacité de la traque des bandits par les Koglweogo. IL FAUT TOUT SIMPLEMENT LES ENCADRER AFIN QU’IL RESPECTENT LES LOIS DU PAYS !
Yiriba, tu parles de" voleurs (sans véritables armes) de motocyclettes ou de chèvres", est-ce que tu vis vraiment au Burkina Faso, toi ? Non, tu ne vis pas au Burkina Faso et tu ne sais certainement pas grand chose du Burkina Faso, voilà pourquoi tu parles de" voleurs (sans véritables armes) de motocyclettes ou de chèvres". Pourtant, même si tu ne vis pas au Burkina Faso, au mois tu dois pouvoir lire l’actualité sur le Burkina Faso, surtout sur ses aspects sécuritaires. Les motocyclettes dont tu parles, le fonctionnaire moyen de "brousse" se saigne en contractant des prêts sur 3 à 5 ans pour l’acquérir. C’est aussi du produit de la vente de ses chèvres que le pauvre paysan scolarise ses enfants ! Si pour toi des motocyclettes et des chèvres sont des choses absolument insignifiantes et sans valeurs, pour la très grande majorité des burkinabè, c’est vital. Les forces de l’ordre et de sécurité ont bien montré leurs limites et leur inefficacité dans la sécurisation des biens et des personnes dans beaucoup de localités du pays. Visites certaines régions et provinces (Est, Sissili, etc.) du Burkina, autrefois des localités à haut risque d’insécurité, elles sont aujourd’hui presque des "havres de paix", dû à l’efficacité de la traque des bandits par les Koglweogo. IL FAUT TOUT SIMPLEMENT LES ENCADRER AFIN QU’IL RESPECTENT LES LOIS DU PAYS !