Installation des Kolgweogo à l’Ouest : Simon Compaoré à Bobo-Dioulasso pour rencontrer les protagonistes

Mon ami, tu es trop naïf. Pourquoi le burkina Faso ne peut pas laisser des policiers ivoiriens venir maintenir l’ordre sur son propre territoire ? Il faut voir plus loin que le bout de ton nez. Les Dozos et les autochtones le savent bien. Si ces koglwéogos sont autorisés dans cette partie du Burkina, cette tradition de dozos à l’Ouest est menacée de disparition à long terme. Nous ne voulons pas de koglweogo à l’Ouest. Point barre !