L’affaire Djibrill Bassolé, un cas d’acharnement judiciaire
30 décembre 2016, 18:10, par
Ka
Jaques Batieno, la philosophie ne se conjugue pas avec la justice. Tu vie à l’extérieur, alors ne prend pas le peuple Burkinabé et ses juges pour des amnésiques. Selon ton analyse, les écoutes téléphoniques ne sont pas authentiques, mais les juges militaires nous confirment que rien ne prouve que les écoutes ne sont pas authentiques. Djibril Bassolet n’est pas le seul accusé sur ce coup d’état à la maternelle, les vrais et courageux, avec la dignité d’officiers militaires, assument. Quand a SORO son état de président de l’assemblée nationale Ivoirienne, lui donne tous les avantages d’éviter par diplomatie des poursuites judiciaires, et nous devons accepter les lois Ivoirienne, car le Burkina l’aura fait si Salif Diallo est accusé par un juge Ivoirien, la France a fait de même que le Burkina concernant SORO. Laissons la justice militaires surtout avec des personnes de leurs rangs comme Bassolet et Diendéré, faire son travail, et c’est le peuple et les familles des victimes de juger les résultats de ces juges.
Jaques Batieno, la philosophie ne se conjugue pas avec la justice. Tu vie à l’extérieur, alors ne prend pas le peuple Burkinabé et ses juges pour des amnésiques. Selon ton analyse, les écoutes téléphoniques ne sont pas authentiques, mais les juges militaires nous confirment que rien ne prouve que les écoutes ne sont pas authentiques. Djibril Bassolet n’est pas le seul accusé sur ce coup d’état à la maternelle, les vrais et courageux, avec la dignité d’officiers militaires, assument. Quand a SORO son état de président de l’assemblée nationale Ivoirienne, lui donne tous les avantages d’éviter par diplomatie des poursuites judiciaires, et nous devons accepter les lois Ivoirienne, car le Burkina l’aura fait si Salif Diallo est accusé par un juge Ivoirien, la France a fait de même que le Burkina concernant SORO. Laissons la justice militaires surtout avec des personnes de leurs rangs comme Bassolet et Diendéré, faire son travail, et c’est le peuple et les familles des victimes de juger les résultats de ces juges.