Attaque de Nassoumbou : Le message à la nation du président Roch Kaboré
17 décembre 2016, 17:49, par
Jean
Monsieur le President, il y a des problemes au sein des FDS, dans cette lutte contre les djihadistes, à résoudre au plus vite car la patrie est en danger.
En effet, à lire entre les lignes de votre déclaration, on voit que le détachement du GFAT a été défait, lors des combats, ou plutot lors de l’assaut Djihadiste. Puisque les assaillants ont non seulement infligés 12 morts et de nombreux blessés aux GFATs mais, en plus, et surtout, ils ont eu la liberté d’incendier tranquillement leurs bâtiments.
Cela signifie que les djihadistes ont encore fait une promenade de santé, face à des FDS sans initiatives, désemparés et à la COMBATIVITE INEXISTANTE. Et c’est chaque fois la meme chose. Soit on les surprend pendant qu’ils prennent leur repas ou on les surprend pendant leur sommeil à l’aube pour les tirer comme des poulets.
Il y a donc urgence de résoudre le problème de cette faiblesse ou absence de combativité des soldats. Il importe qu’on leur fasse clairement comprendre que les djihadistes c’est pas un coup d’état à Ouaga où à la gendarmerie de Paspanga les putschistes tirent sur le soldat de faction qui lache son fusil pour prendre ses jambes à son coup pendant que ses copains dans le camp passent par le mur de la gendarmerie pour détaler comme des lapins en se disant : "qui est fou ?".
Cet esprit qui prévaut dans l’armée burkinabé doit cesser. Car avec les djihadistes pour qui la mort est un gain, il vaut mieux dominer sa peur et combattre. Car abandonner son fusil pour fuir, comme au camp de gendamerie de Paspanga du temps des Thomas Sankara, ne les sauvera pas de la mort. Ils mourront quand même. Et de mort atroce, ie égorgés comme des poulets, comme à Aguelok, au Mali, où la peur BLEUE des djihadistes a laissé libre champ à ces derniers pour tuer tous les soldats maliens du camp de facon atroce par égorgement.
Il vaut mieux donc en cas d’attaque dominer sa peur, et faire face résoulement à la situation, en se rappelant que c’est un HONNEUR pour un soldat de mourir arme à la main. Cet esprit manque dans l’armée et explique cette nouvelle l’humiliation du 16 décembre 2016.des FDS.
A ce sujet, on se demande si le port du gilet pare-balles à tout va ne favorise pas cette peur de passer dans l’au dela au sein de nos FDS. Prenez par exemple les soldats tchadiens qui taillent en pièces les djihadistes, ils vont au combat sans gilets pare-balles.De toutes les facons ces gilets n’ont pas empêchés les 12 FDS d’etre tués.
La stratégie appliquée à ce jour est aussi inefficace. Il convient de la remplacer, en remplacant leurs auteurs, dont l’incompétence est avérée sur le terrain, par des officiers compétents et expérimentés nationaux et/ou étrangers.
Il ne faut pas aussi hésiter à doter des soldats, ayant compris et accepté leur devoir de sacrifice vis à vis de la nation, des équipements adéquats pour accomplir leur mission.
Enfin, et surtout, il faut mettre en place un système de renseignements efficace et une coopération inter-pays, qui réduit au strict minimum les attaques surprises et les dégats qu’ils causent et donnent aux FDS l’initiative sur le terrain au lieu qu’ils aient à subir l’agenda djihadiste, comme c’est le cas en ce moment.
Monsieur le President, il y a des problemes au sein des FDS, dans cette lutte contre les djihadistes, à résoudre au plus vite car la patrie est en danger.
En effet, à lire entre les lignes de votre déclaration, on voit que le détachement du GFAT a été défait, lors des combats, ou plutot lors de l’assaut Djihadiste. Puisque les assaillants ont non seulement infligés 12 morts et de nombreux blessés aux GFATs mais, en plus, et surtout, ils ont eu la liberté d’incendier tranquillement leurs bâtiments.
Cela signifie que les djihadistes ont encore fait une promenade de santé, face à des FDS sans initiatives, désemparés et à la COMBATIVITE INEXISTANTE. Et c’est chaque fois la meme chose. Soit on les surprend pendant qu’ils prennent leur repas ou on les surprend pendant leur sommeil à l’aube pour les tirer comme des poulets.
Il y a donc urgence de résoudre le problème de cette faiblesse ou absence de combativité des soldats. Il importe qu’on leur fasse clairement comprendre que les djihadistes c’est pas un coup d’état à Ouaga où à la gendarmerie de Paspanga les putschistes tirent sur le soldat de faction qui lache son fusil pour prendre ses jambes à son coup pendant que ses copains dans le camp passent par le mur de la gendarmerie pour détaler comme des lapins en se disant : "qui est fou ?".
Cet esprit qui prévaut dans l’armée burkinabé doit cesser. Car avec les djihadistes pour qui la mort est un gain, il vaut mieux dominer sa peur et combattre. Car abandonner son fusil pour fuir, comme au camp de gendamerie de Paspanga du temps des Thomas Sankara, ne les sauvera pas de la mort. Ils mourront quand même. Et de mort atroce, ie égorgés comme des poulets, comme à Aguelok, au Mali, où la peur BLEUE des djihadistes a laissé libre champ à ces derniers pour tuer tous les soldats maliens du camp de facon atroce par égorgement.
Il vaut mieux donc en cas d’attaque dominer sa peur, et faire face résoulement à la situation, en se rappelant que c’est un HONNEUR pour un soldat de mourir arme à la main. Cet esprit manque dans l’armée et explique cette nouvelle l’humiliation du 16 décembre 2016.des FDS.
A ce sujet, on se demande si le port du gilet pare-balles à tout va ne favorise pas cette peur de passer dans l’au dela au sein de nos FDS. Prenez par exemple les soldats tchadiens qui taillent en pièces les djihadistes, ils vont au combat sans gilets pare-balles.De toutes les facons ces gilets n’ont pas empêchés les 12 FDS d’etre tués.
La stratégie appliquée à ce jour est aussi inefficace. Il convient de la remplacer, en remplacant leurs auteurs, dont l’incompétence est avérée sur le terrain, par des officiers compétents et expérimentés nationaux et/ou étrangers.
Il ne faut pas aussi hésiter à doter des soldats, ayant compris et accepté leur devoir de sacrifice vis à vis de la nation, des équipements adéquats pour accomplir leur mission.
Enfin, et surtout, il faut mettre en place un système de renseignements efficace et une coopération inter-pays, qui réduit au strict minimum les attaques surprises et les dégats qu’ils causent et donnent aux FDS l’initiative sur le terrain au lieu qu’ils aient à subir l’agenda djihadiste, comme c’est le cas en ce moment.