Affaire écoutes téléphoniques : « Il ne ressort nulle part que les écoutes sont inexploitables », Alioune Zanré, commissaire du gouvernement
16 décembre 2016, 12:19, par
Hermann
Sur la Terre des hommes, la justice n’a jamais existé, ni avant nous ni à notre ère, ni après nous. Elle n’existe ni ici, ni ailleurs. En justice on a toujours deux camps qui réclament deux décisions toute contradictoires. Ainsi le juge a-t-il vocation à occuper une fonction ingrate. Oui, il y a deux camps inconciliables. Le premier demande de condamner l’accusé. Le cas échéant ce camps est satisfait et saute de joie. L’autre camp demande de rendre à l’accusé sa liberté et nie en bloc les faits qu’on lui reproche. Dès cela arrive, ce camp aussi est enthousiasmé et nargue ses adversaires d’hier. C’est ca la justice des hommes, rien de plus.Ceux qui s’attendent à autre chose se font du mal juste pour rien.Le cas du Burkina dépasse le cadre de nos petits commentaires. Du reste j’ai un petit souhait, une prière. Je souhaite et je prie qu’un jour nos pays puissent disposer d’institutions fortes de nature a être craintes par ceux qui nous dirigent. De mon humble analyse, c’est la chose qui pourra sauver le pauvre africain. A cette étape là, un président de la république tout comme son staff, par crainte de la justice, saura et exécutera sa mission, du moins il essayera.
Sur la Terre des hommes, la justice n’a jamais existé, ni avant nous ni à notre ère, ni après nous. Elle n’existe ni ici, ni ailleurs. En justice on a toujours deux camps qui réclament deux décisions toute contradictoires. Ainsi le juge a-t-il vocation à occuper une fonction ingrate. Oui, il y a deux camps inconciliables. Le premier demande de condamner l’accusé. Le cas échéant ce camps est satisfait et saute de joie. L’autre camp demande de rendre à l’accusé sa liberté et nie en bloc les faits qu’on lui reproche. Dès cela arrive, ce camp aussi est enthousiasmé et nargue ses adversaires d’hier. C’est ca la justice des hommes, rien de plus.Ceux qui s’attendent à autre chose se font du mal juste pour rien.Le cas du Burkina dépasse le cadre de nos petits commentaires. Du reste j’ai un petit souhait, une prière. Je souhaite et je prie qu’un jour nos pays puissent disposer d’institutions fortes de nature a être craintes par ceux qui nous dirigent. De mon humble analyse, c’est la chose qui pourra sauver le pauvre africain. A cette étape là, un président de la république tout comme son staff, par crainte de la justice, saura et exécutera sa mission, du moins il essayera.