Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Crise à la CAMEG : La Cour d’Appel de Ouagadougou annule l’ordonnance du juge des référés
4 novembre 2016, 12:59, par
Sidpawalemdé Sebgo
Effectivement... Mais il resterait au DG Kadéba trois arguments de poids pour contester la "faute grave" qui justifie son licenciement :
1°) L’existence de deux CA et deux PCA qui pose le problème de savoir à qui obéir. Il aurait alors continué à répondre du CA qui l’a nommé.
2°) Les décisions en référé qui semblaient décider du statu quo en attendant les décisions au fond, donc du maintient de l’ancien PCA.
3°) La validité du nouveau récépissé qui valide le nouveau conseil d’administration, qui est querellée en justice et n’était toujours pas tranchée au moment où la "nouvelle équipe" lui donnait des ordres.
Même débarqué donc, il aura toujours des arguments pour se faire dédommager si ses avocats sont bons, à moins qu’on lui trouve d’autres casseroles que cette supposée "faute lourde" de ne pas avoir obéi au "nouveau" PCA.
Effectivement... Mais il resterait au DG Kadéba trois arguments de poids pour contester la "faute grave" qui justifie son licenciement :
1°) L’existence de deux CA et deux PCA qui pose le problème de savoir à qui obéir. Il aurait alors continué à répondre du CA qui l’a nommé.
2°) Les décisions en référé qui semblaient décider du statu quo en attendant les décisions au fond, donc du maintient de l’ancien PCA.
3°) La validité du nouveau récépissé qui valide le nouveau conseil d’administration, qui est querellée en justice et n’était toujours pas tranchée au moment où la "nouvelle équipe" lui donnait des ordres.
Même débarqué donc, il aura toujours des arguments pour se faire dédommager si ses avocats sont bons, à moins qu’on lui trouve d’autres casseroles que cette supposée "faute lourde" de ne pas avoir obéi au "nouveau" PCA.