Crise à la CAMEG : Le Tribunal administratif de Ouagadougou ordonne le sursis à exécution du récépissé de déclaration d’existence du 24 août 2016
10 septembre 2016, 12:34, par
Sidpawalemdé Sebgo
Mon cher Gohoga, votre insistance pour liquider la CAMEG, ce bijou national, au nom d’une soit disant "libéralisation" qui d’après vous serait meilleure alors que c’est faux, est louche.
Le recours tout aussi insistant au nom de François Compaoré pour jeter l’anathème sur toute la boite comme ayant été "sa chose" est malhonnête car l’historique et les partenaires membres de la CAMEG sont maintenant connus, à moins que l’OMS et l’Union Européenne soient d’après vous la propriété des Compaoré.
On pourrait vous soupçonner de "manger" dans ce domaine et de vouloir profiter de cette crise pour faire couler ce concurrent que vous ne pouvez battre sur les prix. C’est inhumain car vous ne pensez pas aux malades, vos frères Burkinabè mais uniquement à votre ventre !
Pour bien sûr après vendre "vos" médicaments aux prix des riches au motif bien connu que "la santé n’a pas de prix". Mais vous n’arriverez pas à vos fins, on vous a à l’œil !
Mon cher Gohoga, votre insistance pour liquider la CAMEG, ce bijou national, au nom d’une soit disant "libéralisation" qui d’après vous serait meilleure alors que c’est faux, est louche.
Le recours tout aussi insistant au nom de François Compaoré pour jeter l’anathème sur toute la boite comme ayant été "sa chose" est malhonnête car l’historique et les partenaires membres de la CAMEG sont maintenant connus, à moins que l’OMS et l’Union Européenne soient d’après vous la propriété des Compaoré.
On pourrait vous soupçonner de "manger" dans ce domaine et de vouloir profiter de cette crise pour faire couler ce concurrent que vous ne pouvez battre sur les prix. C’est inhumain car vous ne pensez pas aux malades, vos frères Burkinabè mais uniquement à votre ventre !
Pour bien sûr après vendre "vos" médicaments aux prix des riches au motif bien connu que "la santé n’a pas de prix". Mais vous n’arriverez pas à vos fins, on vous a à l’œil !