Salifou Diallo au gouvernement : « Il faut apprendre à dire NON à la Banque mondiale et au FMI »
1er septembre 2016, 15:23, par
Karissa
Me serait-il permis de mêler aux trompettes,
Du fond de mes souvenirs ma voix fluette,
Que j’exprimerais mon grand étonnement,
D’entendre l’exciseur vanter le gland.
Que de flots de larmes ici et là-bas,
A l’assassinat de Thomas Sankara !
Ah, Peuple, quel mépris,
A te servir des plaisanteries !
Pauvre pays, encore des peines,
Dans la jarre déjà bien pleine,
A boire dans ta case mal gardée,
Où la joie n’est pas encore entrée.
Un peu sur le tard voyant ton mot,
J’apprécie ta convivialité, Jo,
Autant que je constate ta science.
L’on éduquera par la patience.
Quant à vous, terribles gladiateurs,
Qui déjà confrontez vos humeurs,
Nous ne sommes pas si charbonniers,
A vos fables et calculs livrés.
Me serait-il permis de mêler aux trompettes,
Du fond de mes souvenirs ma voix fluette,
Que j’exprimerais mon grand étonnement,
D’entendre l’exciseur vanter le gland.
Que de flots de larmes ici et là-bas,
A l’assassinat de Thomas Sankara !
Ah, Peuple, quel mépris,
A te servir des plaisanteries !
Pauvre pays, encore des peines,
Dans la jarre déjà bien pleine,
A boire dans ta case mal gardée,
Où la joie n’est pas encore entrée.
Un peu sur le tard voyant ton mot,
J’apprécie ta convivialité, Jo,
Autant que je constate ta science.
L’on éduquera par la patience.
Quant à vous, terribles gladiateurs,
Qui déjà confrontez vos humeurs,
Nous ne sommes pas si charbonniers,
A vos fables et calculs livrés.