Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Crise au PAREN : Carlos Toé maintient le silence, en attendant la session du bureau politique
24 août 2016, 08:15, par
Ouezzin
Internautes Elso et Wendpagnandé, vous avez remercié les journalistes, Oumar L. Ouédraogo et Cyriaque Paré (qui, c’est plutôt rare, s’est "exposé" pour cet article).
Selon moi, cet article sur Carlos Toé est un acte de stratégie politique, et pas seulement un "bel" ouvrage d’investigation et d’information.
Car voici quelqu’un, non, en fait pas un quelqu’un car jusqu’au mémorandum de Bado, et surtout cet article de Faso.net Carlos Toé était un parfait inconnu.
Selon Bado, ce n’était qu’un prénom (alors qu’il était son suppléant aux Législatives, ce qui suffit pour révéler l’imposture de Bado), et voilà que maintenant le monde entier (car on sait la puissance des médias depuis que les réseaux sociaux existent) sait tout ou presque de ce monsieur qui a non seulement l’avantage d’être bel homme (contrairement à Tahirou Barry), d’avoir en poche le produit d’un cursus avantageux (maître en sociologie, DEA et doctorant en Sciences politiques), et ne de pas être Moaga tout en étant lié à cette communauté par parenté à plaisanterie, trois atouts s’il se trouvait avoir des ambitions politiques.
Du charisme, de la pondération par un silence attentif, une photo à son avantage, et voilà, une star est née, par le bon vouloir de deux journalistes ! Ou le bon vouloir de qui ?
Internautes Elso et Wendpagnandé, vous avez remercié les journalistes, Oumar L. Ouédraogo et Cyriaque Paré (qui, c’est plutôt rare, s’est "exposé" pour cet article).
Selon moi, cet article sur Carlos Toé est un acte de stratégie politique, et pas seulement un "bel" ouvrage d’investigation et d’information.
Car voici quelqu’un, non, en fait pas un quelqu’un car jusqu’au mémorandum de Bado, et surtout cet article de Faso.net Carlos Toé était un parfait inconnu.
Selon Bado, ce n’était qu’un prénom (alors qu’il était son suppléant aux Législatives, ce qui suffit pour révéler l’imposture de Bado), et voilà que maintenant le monde entier (car on sait la puissance des médias depuis que les réseaux sociaux existent) sait tout ou presque de ce monsieur qui a non seulement l’avantage d’être bel homme (contrairement à Tahirou Barry), d’avoir en poche le produit d’un cursus avantageux (maître en sociologie, DEA et doctorant en Sciences politiques), et ne de pas être Moaga tout en étant lié à cette communauté par parenté à plaisanterie, trois atouts s’il se trouvait avoir des ambitions politiques.
Du charisme, de la pondération par un silence attentif, une photo à son avantage, et voilà, une star est née, par le bon vouloir de deux journalistes ! Ou le bon vouloir de qui ?