Juliette Nana, sociétaire des Princesses du Kadiogo : « Christiano Ronado, mon idole »

En observateur du football féminin, ce sport ne permettra à des joueuses comme cette jeune fille de s’ épanouir que lorsque les acteurs y compris la fédération, arrêteront de travailler à tirer ce sport vers le bas. Illustrations :
 financement très discriminatoire par la fédération( 1 500 000f pour le vainqueur de la coupe du Faso dame pendant que les hommes ont 10 000 000)
 bagarres entre les organisateurs des tournois féminins( on veut organiser et remporter)
 jalousie et beaucoup de peaux de banane entre les clubs
 l’argent remporté lors des coupes accaparé par les promoteurs et prometteuses des clubs au détriment des joueuses même s’il faut reconnaître les efforts que ces responsables fournissent.
SOLUTION : professionnaliser le football féminin, former VRAIMENT les encadreurs et les promoteurs des clubs et surtout revoir le budget alloué au foot féminin( orienter les 2 tiers du financement de la FIFA vers les clubs), aux joueuses de se convaincre qu’ elles peuvent très bien réussir dans ce qu’ elles font en évitant la paresse et cocomprendre que celles qu’elles voient à la télé ont travaillé pour y arriver