A l’abattoir d’ânes de Balolé, « même les ânesses en gestation sont abattues »
16 juillet 2016, 11:50, par
Woubinè
Le gouvernement doit être ferme dans sa décision au sujet des ânes. Ce sont les couches vulnérables paysannes qui utilisent ces ânes dans la recherche de leur pitance.
Sur l’axe routier Manga-Gonbousgou-Zabré-Ziou-Guélwongo-frontière du Ghana, chaque jour que Dieu fait ce sont des troupeaux par centaines qui sont convoyé à pieds vers le Ghana.
A ce chiffre de 45000 ânes abattus en 6 mois il faudrait ajouter ce chiffre minimal de 36 500 ânes par an (365 jours x 100 ânes par jour convoyés).
Chers gouvernants, déclarez cette espèce animale comme protégée au Burkina.
Leur protection est la protection de la couche vulnérable de paysans qui s’en serve comme moyen économique.
Le gouvernement doit être ferme dans sa décision au sujet des ânes. Ce sont les couches vulnérables paysannes qui utilisent ces ânes dans la recherche de leur pitance.
Sur l’axe routier Manga-Gonbousgou-Zabré-Ziou-Guélwongo-frontière du Ghana, chaque jour que Dieu fait ce sont des troupeaux par centaines qui sont convoyé à pieds vers le Ghana.
A ce chiffre de 45000 ânes abattus en 6 mois il faudrait ajouter ce chiffre minimal de 36 500 ânes par an (365 jours x 100 ânes par jour convoyés).
Chers gouvernants, déclarez cette espèce animale comme protégée au Burkina.
Leur protection est la protection de la couche vulnérable de paysans qui s’en serve comme moyen économique.