Franc-maçonnerie : Alain Roger Coeffé remplace Djibrill Bassolé à la tête des « Maçons » burkinabè

Vous avez dit que ce bonhomme était ministre sous Thomas Sankara ? Au temps de la RDP ?
C’est dire que le sort de Thomas était déjà scellé dès 1983, si de sinistres pareils, des nominalistes et des réactionnaires de ce genre étaient membres de son gouvernement.
La Franc-maçonnerie et autres Rose-Croix n’ont jamais été révolutionnaires ; mais bien des forces de négation de la lutte des classes, des forces anti-Dieux, des forces de dissolution de toutes valeurs sociales établies dans les sociétés où elles opèrent, au profit de l’expansion de l’affairisme, le néocolonialisme, l’impérialisme et du délitement moral.
La Franc-Maçonnerie, c’est l’anti-nation, l’anti-indépendance, l’anti-spécificité culturelle, au profit du grand marché prédateur et d’une morale de la corruption et de l’affairisme entre soi c’est-à-dire frères-maçons.
En ce sens, maçons et rosicruciens sont des sociétés occultes de connivences réactionnaires, anti-démocratiques et contre les intérêts des peuples contrairement à leurs prétentions et propagandes de recrutement pour âmes vides, cupides et en mal de reconnaissance sociale.
Aussi leur moral basée sur le cynisme le plus réactionnaire, l’amoralisme dissolvant et la promotion mesquine de l’entre-soi n’a rien de progressiste.
Cette morale là n’a jamais été et ne sera jamais la nôtre, ni celle de notre peuple où ces forces occultes sont des corps étrangers en son sein. Des corps étrangers contre son émancipation progressiste.
Na an lara, an sara !
La patrie ou la mort, nous vaincrons !