Climat : Un nombre record de 175 pays signent l’Accord de Paris

Le Secrétaire général a par ailleurs appelé à ce que ce pacte ne soit pas un simple catalogue de promesses.
« Il doit se traduire dans les actes que nous accomplissons aujourd’hui pour le compte de la jeune génération actuelle et de toutes celles qui la suivront, des actes qui réduisent le risque climatique et protègent les communautés, des actes qui nous engagent dans une voie plus sûre et plus intelligente […]. Aujourd’hui est une journée pour nos enfants, nos petits-enfants et toutes les générations à venir […]. Comme vous le démontrez par votre geste même de signature aujourd’hui, le pouvoir de construire un monde meilleur est entre vos mains ».

Bien dit tout cela Excellence SG Mr. Ban. Reste entendu que toutes ces bonnes intentions doivent être suivies de la partition de tous les pays et de chaque pays en partant de ses réalités culturelles. L’État du Vatican a apporté déjà la sienne avec le Laudato Si du pape François. Reste les pays d’Afrique et les pays pauvres. Encore faut-il qu’ils en aient les coudées franches pour le faire. Mais qu’à cela ne tienne, le Burkina-Faso quoiqu’il advienne y tiendra, en attendant bien sûr une rencontre internationale à la mesure de celle de la Société des Nations en 1945, pour refonder tout le système des Nations-Unis. Pour cela il sera nécessaire de réviser « la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 » en la ramenant à ses objectifs premiers et en veillant à ce qu’elle fasse cette fois la différence de façon inclusive avec tous les pays concernés et avec ce qui avait été d’avance décidé à la rencontre de Yalta.

Je vous remercie Excellence Secrétaire Général.