« Notre lutte est apolitique et estudiantine », rappelle Aly Idriss, porte-parole des étudiants tchadien de 2iE
30 mars 2016, 23:09, par
Dibi
Etuduant(e)s tchadien(ne)s, nous soutenons votre lutte, même politique ; ce qui est normal pour une jeunesse appelée à assurer la relève de demain, et pour qui l’apolitisme ne saurait être la bonne voie ; c’est plutôt, la voie du plat-ventrisme face au satrape et son clan qui maintiennent le Tchad sous la férule de l’impérialisme français.
Etuduant(e)s tchadien(ne)s, nous soutenons votre lutte face à un régime peu soucieux de l’avenir et de la jeunesse ; ce régime qui cherche à désarmer vos consciences par la faim et la privation de vos droits. C’est une des formes de la guerre sociale que les régimes néocoloniaux africains livrent à leurs peuples et à leurs jeunesses ; et elle est bien politique cette sale guerre.
En face, il vous faut donc imposer au satrape de N’Djamena et son clan une résistance toute autant politique, forte et unie. Nous vous soutenons dans votre lutte ; et par solidarité panafricaine je ferai de vous toutes et tous des boursiers burkinabè si j’avais le pouvoir.
Etuduant(e)s tchadien(ne)s, nous soutenons votre lutte, même politique ; ce qui est normal pour une jeunesse appelée à assurer la relève de demain, et pour qui l’apolitisme ne saurait être la bonne voie ; c’est plutôt, la voie du plat-ventrisme face au satrape et son clan qui maintiennent le Tchad sous la férule de l’impérialisme français.
Etuduant(e)s tchadien(ne)s, nous soutenons votre lutte face à un régime peu soucieux de l’avenir et de la jeunesse ; ce régime qui cherche à désarmer vos consciences par la faim et la privation de vos droits. C’est une des formes de la guerre sociale que les régimes néocoloniaux africains livrent à leurs peuples et à leurs jeunesses ; et elle est bien politique cette sale guerre.
En face, il vous faut donc imposer au satrape de N’Djamena et son clan une résistance toute autant politique, forte et unie. Nous vous soutenons dans votre lutte ; et par solidarité panafricaine je ferai de vous toutes et tous des boursiers burkinabè si j’avais le pouvoir.