Phénomène des “Kogléweogo” : Le gouvernement pour un encadrement de leurs activités
12 février 2016, 11:44, par
Vive les Koglewéogo
Pour un Faso sans voleur de poulets, moutons, de chèvres, de boeufs, de motos, de velos, etc. Pour un Burkina sans coupeurs de route, de brigands, etc., Il faut les groupes d’auto-defense et de vigilance. Dans 3 à 5 ans, il fera bon vivre au Faso grâce aux Koglewéogo. Si les autorités n’encadrent pas ces associations et pire si elles les suppriment, nous allons voir des gens lyncher les voleurs et brigands qu’ils auront arrêtés. Et c’est cela qui n’est pas du tou bien. Par conséquent il faut que les autorités demandent à ces Kogléweogo de travailler avec les forces de sécurité dans leurs localités lorsqu’ils mettent la main sur les malfrats. Au moins il faut permettre aux Kogléweogo de fouetter ces bandits avant de les remettres aux forces de securité ; 20 coups de fouets (je dis bien coups de fouets et non coups de bâton). C’est parce qu’on ne les fouettent pas que les voleurs, les coupeurs de routes et bandits se sentent dans leur sale besogne. Vive les Koléweogo !
Pour un Faso sans voleur de poulets, moutons, de chèvres, de boeufs, de motos, de velos, etc. Pour un Burkina sans coupeurs de route, de brigands, etc., Il faut les groupes d’auto-defense et de vigilance. Dans 3 à 5 ans, il fera bon vivre au Faso grâce aux Koglewéogo. Si les autorités n’encadrent pas ces associations et pire si elles les suppriment, nous allons voir des gens lyncher les voleurs et brigands qu’ils auront arrêtés. Et c’est cela qui n’est pas du tou bien. Par conséquent il faut que les autorités demandent à ces Kogléweogo de travailler avec les forces de sécurité dans leurs localités lorsqu’ils mettent la main sur les malfrats. Au moins il faut permettre aux Kogléweogo de fouetter ces bandits avant de les remettres aux forces de securité ; 20 coups de fouets (je dis bien coups de fouets et non coups de bâton). C’est parce qu’on ne les fouettent pas que les voleurs, les coupeurs de routes et bandits se sentent dans leur sale besogne. Vive les Koléweogo !