Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Le Burkina Faso abandonne le coton Bt transgénique
19 février 2016, 10:17, par
Grég
OGM : La peur de l’inconnu !!!
Maintenant, une partie de l’inconnu est connue,
Quelle partie de l’inconnu doit être rapidement connue ? Avec déjà une population fébrile sur le plan sanitaire et autres, Obs et si le pire comme ZIKA Via OGM nous tapait comme les terroristes ? c’est dire qu’il faut rapidement envisager des investigations tout azimut (Principe de précaution)
observations : dès que le politique se mêle de la science, et que les scientifiques recherchent des protections politiques, nous aboutiront toujours à ses résultats choquant
le pire n’est pas loin (autres spéculations) si on ne met pas fin à la "recherche commerciale"
J’ai peur d’une seule chose : une insurrection de nos pauvres producteurs auprès des structures de recherches et de l’agriculture pour demander réparation. Cela me rappelle de ces insecticides que les paysans buvaient pour prouver la non efficacité.
Alors, Le prête dans son Église, le Limame dans sa Mosquée et tous doivent contribuer, chacun dans son domaine à une émergence du pays.
Au Burkina, tu dis la vérité, on te casse ou on te cale !
OGM : La peur de l’inconnu !!!
Maintenant, une partie de l’inconnu est connue,
Quelle partie de l’inconnu doit être rapidement connue ? Avec déjà une population fébrile sur le plan sanitaire et autres, Obs et si le pire comme ZIKA Via OGM nous tapait comme les terroristes ? c’est dire qu’il faut rapidement envisager des investigations tout azimut (Principe de précaution)
observations : dès que le politique se mêle de la science, et que les scientifiques recherchent des protections politiques, nous aboutiront toujours à ses résultats choquant
le pire n’est pas loin (autres spéculations) si on ne met pas fin à la "recherche commerciale"
J’ai peur d’une seule chose : une insurrection de nos pauvres producteurs auprès des structures de recherches et de l’agriculture pour demander réparation. Cela me rappelle de ces insecticides que les paysans buvaient pour prouver la non efficacité.
Alors, Le prête dans son Église, le Limame dans sa Mosquée et tous doivent contribuer, chacun dans son domaine à une émergence du pays.
Au Burkina, tu dis la vérité, on te casse ou on te cale !