Attaques contre Splendid Hotel : « Les terroristes s’intéressaient à l’occupant de la chambre 303 »

Bravo le Fasonet pour votre professionnalisme. Mais à lire le récit, c’est à croire que les terroristes pouvaient passer par le mur comme AB et s’en fuir. Mais peut-être que c’est une mauvaise appréciation de ma part à partir de ma lecture. En effet , tous ceux qui sortaient de la zone devaient être conduits à la police ou à a gendarmerie pour être contrôlés, identifiés et libérés après une interrogatoire. C’est une question de sécurité. Même les blessés hospitalisés à l’hôpital ne devraient pas échappé à cette interrogatoire (distincte de l’identification des médecins.)