Rémi Dandjinou, symbole d’une évolution générationnelle réussie
19 janvier 2016, 12:45, par
Jeunedame seret
Bel article tendancieux !! Mais il faut savoir que les Burkinabe respectent plus l’étranger que l’autochtone. Au village s’il y a visiteur, même sans espace, on préfère déménager un jeune de sa case pour loger cet étranger comme une chère personne. Chez nous au Faso il ne faut pas trop réfléchir sur ces petites questions de village ethnie ou régions. Même au village, on me demande souvent si je suis princesse moaaga ? Ou née gourounsi ; car mon accent mooré ressemble à celui des gens de koudougou. Mais ça s’arrête là. Faut pas créer d’autres connotations à ces interrogations. Tu connais bien parler comme RÉMI ; mais attention au langage capricieux !!!
Bel article tendancieux !! Mais il faut savoir que les Burkinabe respectent plus l’étranger que l’autochtone. Au village s’il y a visiteur, même sans espace, on préfère déménager un jeune de sa case pour loger cet étranger comme une chère personne. Chez nous au Faso il ne faut pas trop réfléchir sur ces petites questions de village ethnie ou régions. Même au village, on me demande souvent si je suis princesse moaaga ? Ou née gourounsi ; car mon accent mooré ressemble à celui des gens de koudougou. Mais ça s’arrête là. Faut pas créer d’autres connotations à ces interrogations. Tu connais bien parler comme RÉMI ; mais attention au langage capricieux !!!