Inculpation de Djibrill Bassolé : Ses avocats dénoncent un dossier vide

@n024, merci Dr. J’ ai une question que j’ai toujours voulu poser aux docteurs mais je n’ai jamais eu le courage de la poser parce que mon courage n’ est pas arrive la- bas.Il est plus facile de defier un reptile, pardon, un rspien requinque que d’ affronter un docteur. Quand je suis malade ou quand ma femme est malade ou quand mon enfant est malade, vous etes mon Dieu sur terre. Donc je n’ ai pas les c.. bien pendues pour vous poser cette question. Parce que y a pas de rakire entre les medecins et le malade. Donc, je profite de l’ anonymat pour vous poser ma question lachement, j’ en conviens. Pourquoi vous ecrivez d’ une facon que personne ne peut lire sauf les pharmaciens ? Ma vraie question : Vous n’ avez jamais eu des copines avant de devenir docteurs ou quoi ? Je pose la question parce que nous a notre temps, on ecrivait des lettres romantiques d’ amour sur des feuilles avec des fleurs de rose pour endiabler les pepes devenues les nanas devenues les daye devenues la gounda devenues la go, on prenait tout les soins du monde pour non seulement ecrire de facon lisible mais de facon a marquer les points Parce que la lettre -la, elle va etre lue par plus de 10 de ses copines et elles vont voter pour ou contre sns meme te voir. Donc ce que tu ecris, c’est ta phorto en meme temps. Peut etre que comme vous avez fait Bac+10, vous n’ aviez pas le temps de faire la cour assidue aux gos. Si vous aviez ecrit les lettres comme nous, qui lisait ca pour elles ? Les lettres- la, il fallait bien calligraphier, hein car l’ ecriture meme contenait deja dans votre notation. Si c’ est un pharmacien, donc vous etes des cocus. Je rigole. Merci de prendre ma blague de bon coeur.Je demande aussi aux avocats, philosophes et banquiers de me pardonner et de m’ oublier. Mais s’ il y doit y avoir quelqu’ un qui refuse de me pardonner , que ce soit le philosophe parce que je vais dire que c’ est son comme ca, que ce sont des fous.fa fous. Et il ne gagnera jamais aux yeux du public.