Situation au Burkina : L’Union africaine, la CEDEAO et les Nations Unies condamnent

Inutile de menacer M. KONÉ. Où étaient ces organisations internationales lorsque l’État Burkinabè foulait au pied l’arrêt de la Cour d’ Abuja de la CDEAO du 13 juillet 2015. Ces organisations doivent soutenir l’inclusion. Il n’y aura de paix possible sans des élections transparentes, inclusives, donc démocratiques. Les organisations internationales doivent d’abord aller déloger N’Kurunziza avant de venir déranger ces vaillants soldats. Vu le comportement des autorités de la Transition, et, notamment l’arrogance sans limite de shérif, il convient de mettre fin à la transition et de continuer les élections du 11 octobre avec tous les candidats. Il n’y a pas d’autres solutions et s’il vous plaît, économisez-moi des vies humaines innocentes et surtout économisez-moi une guerre civile avant de revenir à la table des négociations. Un citoyen honnête qui vous dira toujours la voie à suivre....