« Les autorités de la transition doivent prendre des décisions pour contrer la machine déclenchée au conseil constitutionnel » dixit Pascal Zaïda de la CNTR
20 août 2015, 09:08, par
Rapoug-Yandé
Zaîda, "le pilleur" ne peut que regretter l’ère Compaoré. Sa profite dudit régime, il tente tant bien que mal de survivre mais la fin s’approche inexorablement car ses bailleurs de fonds sont tous en train de prendre un à un la route de la MACO. C’est maintenant que tu demandes l’intervention des Autorités de la transition comme si tu les reconnaissais. La voie utilisée jusque là pour contester les candidatures est légale et républicaine. Pourquoi refusez-vous cette option. Laissez le juge dire le droit un point un trait.
Pour ce qui concerne la loi sur le statut du personnel militaire, je pense que dans les régimes normaux comme chez nous, ce n’est pas la personne intéressée qui écrit la loi qui doit la régir mais plutôt les dirigeants politiques (cf. différentes lois de programmation militaire -Rep. française) alors de grâce le gouvernement est dans son droit. Pourquoi tu te plains à leur place à moins qu’il y ait un deal entre certains d’entre eux et toi. Sois sereins, quelque soit le verdict de la Cour constitutionnelle concernant les candidatures des tes patrons, le Burkina Faso est un havre de paix.
Zaîda, "le pilleur" ne peut que regretter l’ère Compaoré. Sa profite dudit régime, il tente tant bien que mal de survivre mais la fin s’approche inexorablement car ses bailleurs de fonds sont tous en train de prendre un à un la route de la MACO. C’est maintenant que tu demandes l’intervention des Autorités de la transition comme si tu les reconnaissais. La voie utilisée jusque là pour contester les candidatures est légale et républicaine. Pourquoi refusez-vous cette option. Laissez le juge dire le droit un point un trait.
Pour ce qui concerne la loi sur le statut du personnel militaire, je pense que dans les régimes normaux comme chez nous, ce n’est pas la personne intéressée qui écrit la loi qui doit la régir mais plutôt les dirigeants politiques (cf. différentes lois de programmation militaire -Rep. française) alors de grâce le gouvernement est dans son droit. Pourquoi tu te plains à leur place à moins qu’il y ait un deal entre certains d’entre eux et toi. Sois sereins, quelque soit le verdict de la Cour constitutionnelle concernant les candidatures des tes patrons, le Burkina Faso est un havre de paix.