Accueil > ... > Forum 802957

Gilbert Noël Ouédraogo : « Je n’ai rien reçu de qui que ce soit et notre décision n’a pas été motivée par de l’argent »

9 août 2015, 19:45, par ka

Mr. Gilbert Ouédraogo, peut être dans votre tombe vous pourrez un jour tromper le peuple, mais de votre vivant, il vous sera difficile de tromper un peuple mûri par vos tromperies : Peuple Burkinabé, il est temps que l’on comprenne le genre de personne qui est Gilbert Ouédraogo : Depuis qu’il est en politique, il a constamment tourné sa veste pour rechercher un intérêt personnel, en s’adaptant à toutes les situations avec Blaise Compaoré et sa clique. Avant hier, il était dans les bonnes grâces de Blaise Compaoré. Hier il demandait au peuple pardon de l’avoir trompé, et aujourd’hui il est le chantre de de tous les nouveaux partis, UPC, MPP, NAFA, en attendant l’occasion de profit pour les trompé tous. Ce genre de personnes est dangereux, car pour ses intérêts égoïstes et mesquins, il est capable de vendre son père et sa mère. Il est l’auteur du soulèvement populaire du 30 et 21 Octobre 2014 qui a couté la vie de nos filles et fils, car le peuple était a ses genoux en lui demandant de respecter la lettre et l’esprit de l’article 37 de notre constitution qui interdisent tout président prédateur de briguer 3 mandats présidentiels consécutifs, mais avec arrogance, cet individu dangereux pour la société, a ordonné ses députés de suivre Blaise Compaoré dans sa folie des grandeurs. Mr. Gilbert Ouédraogo, Ka farouche partisan de l’alternance politique et économique du Burkina avec les jeunes, et un vieux routier de la politique Burkinabé depuis son indépendance, vous dit que la constitution Burkinabé et ses articles de loi ne sont pas faites pour protéger des moutons, mais le peuple Burkinabé, ce ne sont pas des textes de lois ordinaires, notre constitution tire sa légitimité et sa puissance du fait qu’elle est la conscience de nos aïeux et de nos hommes de lois, pour des dignes Burkinabé d’aujourd’hui que nous sommes. et des générations à venir. Violer la constitution, est un fait très grave qui ébranle le fondement de l’ETAT : Et vous, vous aviez voulu le faire pour vos gosiers. Le peuple pardonne, mais n’oublie pas, et en ce qui vous concerne, vous aviez tué votre vie politique pour de l’argent et faire plaisir a un criminel sanguinaire. Allez-y garder des chèvres ou vous voulez, le peuple vous attend au tournant, et les Portes de la MACO vous sont grandement ouvertes.


LeFaso.net
LeFaso.net © 2003-2023 LeFaso.net ne saurait être tenu responsable des contenus "articles" provenant des sites externes partenaires.
Droits de reproduction et de diffusion réservés