Pr Séni Ouédraogo : « La Cour de justice CEDEAO nous a rendu le meilleur service »
15 juillet 2015, 13:51, par
Le Loup
Je partage le point de vue l’internaute 16. Dans le cas du burkina, il y a eu un projet de modification d’un article 37de la constitution et non un changement constitutionnel ayant conduit à une insurrection populaire. Il y a eu une manifestation contre un projet de modification ayant conduit le président à la démission. Je ne suis pas un professeur de droit pour analyser une décision de justice, mais le petit droit j’ai étudié me permets de comprendre comment le système juridique fonctionne. Le nouveau code électoral n’a pas été validé par la cour de justice de la Cédeao, point barre. Si vous êtes plus experts que les juges de la cour de justice de la Cédeao, vous devez dès lors compris le caractère ambigu et les violations des droits de l’homme de cette loi électorale. Je comprends plus la démarche de l’ancien régime qui voulait modifier pour régner à vie, mais vous, votre loi est contre les droits de l’homme et la liberté d’opinion politique. Cette loi doit être abrogée pour le respect de tous les burkinabé.
Je partage le point de vue l’internaute 16. Dans le cas du burkina, il y a eu un projet de modification d’un article 37de la constitution et non un changement constitutionnel ayant conduit à une insurrection populaire. Il y a eu une manifestation contre un projet de modification ayant conduit le président à la démission. Je ne suis pas un professeur de droit pour analyser une décision de justice, mais le petit droit j’ai étudié me permets de comprendre comment le système juridique fonctionne. Le nouveau code électoral n’a pas été validé par la cour de justice de la Cédeao, point barre. Si vous êtes plus experts que les juges de la cour de justice de la Cédeao, vous devez dès lors compris le caractère ambigu et les violations des droits de l’homme de cette loi électorale. Je comprends plus la démarche de l’ancien régime qui voulait modifier pour régner à vie, mais vous, votre loi est contre les droits de l’homme et la liberté d’opinion politique. Cette loi doit être abrogée pour le respect de tous les burkinabé.