Dr Ablassé Ouédraogo à propos des réactions à son entretien dans Jeune Afrique : « Je suis content de savoir qu’il y a une conscientisation des Burkinabè sur ce genre de problèmes »

La leçon à tirer de ce buz est que ceux qui voulaient s’appuyer sur l’ethnie pour vaincre leur adversaire politique doivent comprendre que les burkinabè de 2015 ont dépassé ces considérations ethniques ou religieuses qui ne peuvent que mettre le pays en retard. Retenons que ce qui doit guider les électeurs ce sont les valeurs et les compétences de chaque candidat.
Les jeunes sont invités à traduire cela dans les urnes le 11 octobre prochain afin que les politiciens ne puissent plus utiliser l’ethnie ou la religion à leurs fins.
Vive le Burkina Faso.