Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Ablassé Ouédraogo sur Jeune Afrique : les trois atouts pour accéder à Kosyam
9 juin 2015, 14:06, par
Alex
Dieu aime le Burkina ! D’ici le début des élections, les oiseaux de mauvaise augure vont s’auto-disqualifier et les burkinabè distingueront l’ivraie du bon grain parmi les candidats. Les électeurs auront le discernement voulu et dans le secret des urnes, ils sauront confier les clés de Kosyam à celui qui aurait été le plus MERITANT à cause de son programme politique et de son aptitude à apporter des solutions aux problèmes quotidiens des burkinabè. Ablassé ne s’est pas trompé. C’est le sort qui le tient comme le sort avait musulé Blaise Compaoré pour qu’il soit si sourd et que le vaillant peuple en souffrance, mais tant aimé de Dieu, en vienne à la bouter hors du palais de Kosyam. La décantation naturelle a commencé et d’ici là, les choses se clarifieront au fur et à mesure. Les burkinabè auront le président qu’ils méritent sous l’injonction de Dieu et ce président ne sera ni du plateau central, ni de la vallée, ni de la montagne etc. Il ne sera pas un président des musulmans, ni des chrétiens, ni des animistes, ni des mouvements philosophiques, ni des athés mais simplement le PRESIDENT des burkinabè qui sait aller apporter le soulagement aux populations du Burkina profond, là où règne la misère absolue et où les gens vivent dans la résignation sans autre recours ni secours que de s’en remettre à Dieu.
Dieu aime le Burkina ! D’ici le début des élections, les oiseaux de mauvaise augure vont s’auto-disqualifier et les burkinabè distingueront l’ivraie du bon grain parmi les candidats. Les électeurs auront le discernement voulu et dans le secret des urnes, ils sauront confier les clés de Kosyam à celui qui aurait été le plus MERITANT à cause de son programme politique et de son aptitude à apporter des solutions aux problèmes quotidiens des burkinabè. Ablassé ne s’est pas trompé. C’est le sort qui le tient comme le sort avait musulé Blaise Compaoré pour qu’il soit si sourd et que le vaillant peuple en souffrance, mais tant aimé de Dieu, en vienne à la bouter hors du palais de Kosyam. La décantation naturelle a commencé et d’ici là, les choses se clarifieront au fur et à mesure. Les burkinabè auront le président qu’ils méritent sous l’injonction de Dieu et ce président ne sera ni du plateau central, ni de la vallée, ni de la montagne etc. Il ne sera pas un président des musulmans, ni des chrétiens, ni des animistes, ni des mouvements philosophiques, ni des athés mais simplement le PRESIDENT des burkinabè qui sait aller apporter le soulagement aux populations du Burkina profond, là où règne la misère absolue et où les gens vivent dans la résignation sans autre recours ni secours que de s’en remettre à Dieu.