Ablassé Ouédraogo sur Jeune Afrique : les trois atouts pour accéder à Kosyam

Pourtant c’est la réalité un mossi préfère même un Dioulla un Bobo un peul ou une samo comme moi au pouvoir qu’un bissa. Il faut écouter les conversations dans les QG à Ouaga pour comprendre que le mal est profond. Même les enfants qui n’ont même pas l’âge de voter raisonnent ainsi. Je ne parle même plus des villages. Le danger c’est que c’est pas les mossis seulement qui pensent ainsi.