A propos du code électoral : le Front patriotique citoyen contre l’exclusion sans cautionner l’impunité
24 avril 2015, 08:08, par
Nedbiiga
Je crois, très sincèrement, que ce qui mérite d’être entendu c’est le sens à donner aux termes "inclusion" et "exclusion" tant usités ces derniers temps.
L’inclusion doit s’entendre en termes d’ entité (parti politique, OSC, Forces de Défense et de Sécurité, etc.) qui sont les parties prenantes de la Transition politique au Burkina Faso. Et, je voudrais rappeler qu’au lendemain de l’insurrection populaire, des tenors de l’ex parti au pouvoir se sont vu refusé l’accès à la salle de discussion avec les médiateurs internationaux (UA, ONU, CEDEAO) sans que ce ne soit le parti qui en soit exclu. Moralité, l’ex Front républicain participe à raison de dix personnes au CNT. Pourquoi parce que le nouveau code électoral vise des responsables au comportement plus que litigieux dans l’affaire ayant conduit à l’insurrection, avec son cortège de désolation (morts de citoyens Burkinabé que nous n’avons pas encore fini de pleurer, saccage de biens publics et privés non encore totalement soldé et qui coûtent tant au contribuable, difficulté sociale pour nombre de nos concitoyens, etc.), on nous parle d’exclusion ? EXCLUSION DE QUI ? de QUEL PARTI ? QE QUELLE COMPOSANTE DU PEUPLE BURKINABE ? Telles me semble les questions qu’il faille poser et auxquelles des réponses objectives doivent être trouvées, d’abord par chacun dans sa conscience et ensuite par tout le peuple. Arrêtons les fuites en avant et les querelles de chiffonniers. Dieu nous vienne en aide !
Je crois, très sincèrement, que ce qui mérite d’être entendu c’est le sens à donner aux termes "inclusion" et "exclusion" tant usités ces derniers temps.
L’inclusion doit s’entendre en termes d’ entité (parti politique, OSC, Forces de Défense et de Sécurité, etc.) qui sont les parties prenantes de la Transition politique au Burkina Faso. Et, je voudrais rappeler qu’au lendemain de l’insurrection populaire, des tenors de l’ex parti au pouvoir se sont vu refusé l’accès à la salle de discussion avec les médiateurs internationaux (UA, ONU, CEDEAO) sans que ce ne soit le parti qui en soit exclu. Moralité, l’ex Front républicain participe à raison de dix personnes au CNT. Pourquoi parce que le nouveau code électoral vise des responsables au comportement plus que litigieux dans l’affaire ayant conduit à l’insurrection, avec son cortège de désolation (morts de citoyens Burkinabé que nous n’avons pas encore fini de pleurer, saccage de biens publics et privés non encore totalement soldé et qui coûtent tant au contribuable, difficulté sociale pour nombre de nos concitoyens, etc.), on nous parle d’exclusion ? EXCLUSION DE QUI ? de QUEL PARTI ? QE QUELLE COMPOSANTE DU PEUPLE BURKINABE ? Telles me semble les questions qu’il faille poser et auxquelles des réponses objectives doivent être trouvées, d’abord par chacun dans sa conscience et ensuite par tout le peuple. Arrêtons les fuites en avant et les querelles de chiffonniers. Dieu nous vienne en aide !