Energie : Pour mettre fin aux délestages au Faso, Zéphirin Diabré n’exclut pas l’énergie nucléaire
20 avril 2015, 11:27, par
Beton
C’est ce que je n’aime pas chez les politiques, le populisme. C’est d’une démarche qui, aux premiers instants semble porteurs mais qui vous rattrape tôt ou tard.
Avec quel moyen nous un (PPTE) allons nous acquerir une centrale nucléaire ? Même si on y allouait l’intégralité de notre budget sur trois exercice, nous ne pourrions pas.Et que dire de la gestion d’une éventuelle catastrophe ?
Mr DIABRE, je vous aime bien, mais si vous voulez continuer à bénéficier de ma sympathie, je vous conseil de ne pas vous aventurer sur ce chemin (le populisme).
Le BURKINA FASO pourra éventuellement commencer à parler de nucleaire d’ici 50 ans, et là encore c’est si nous arrivons à instaurer une vraie démocratie qui pourrais nous garantir une meilleure gestion des finances publiques.
C’est ce que je n’aime pas chez les politiques, le populisme. C’est d’une démarche qui, aux premiers instants semble porteurs mais qui vous rattrape tôt ou tard.
Avec quel moyen nous un (PPTE) allons nous acquerir une centrale nucléaire ? Même si on y allouait l’intégralité de notre budget sur trois exercice, nous ne pourrions pas.Et que dire de la gestion d’une éventuelle catastrophe ?
Mr DIABRE, je vous aime bien, mais si vous voulez continuer à bénéficier de ma sympathie, je vous conseil de ne pas vous aventurer sur ce chemin (le populisme).
Le BURKINA FASO pourra éventuellement commencer à parler de nucleaire d’ici 50 ans, et là encore c’est si nous arrivons à instaurer une vraie démocratie qui pourrais nous garantir une meilleure gestion des finances publiques.