Les héros de l’insurrection populaire : Christophe Dabiré
25 janvier 2015, 15:58, par
Yata
Etant un lecteur assidu de Debrseoyir Dabiré comme beaucoup de lecteurs de Fasonet, mais aussi une vielle connaissance (j’étais en classe de 6è avec lui et depuis on ne s’est jamais perdu de vue), je me permets de lui proposer la démarche suivante, les choses au pays ne devant plus être comme avant :
1) Introduire une candidature formelle pour enseigner (à temps complet ou partiel) à l’Université de Ouagadougou, mais aussi dans d’autres institutions du pays.
2) Envoyer copie de cette candidature au Professeur Mahamadé Savadogo, éminent philosophe et patriote sincère, pour que celle-ci (la candidature) ne soit pas déclarée un jour "perdue" dans les sables du désert ou dans quelque tiroir de bureaucrate paresseux et incompétent,
3) Se rendre disponible à être au Burkina en temps utile pour qu’on ne t’oppose pas l’argument dilatoire de "on ne peut pas coiffer quelqu’un en son absence", si souvent entendu à propos des recrutements à l’UO.
Je crois, cher Debrseoyir, que ces propositions sont à étudier sérieusement, car elles vont dans le sens de l’histoire et du patriotisme, selon l’idée que nous en avons. Cela serait aussi une grande contribution à la lutte de notre peuple, car une bataille est certes gagnée, mais la lutte continue. Hasta la victoria, siempre !
Etant un lecteur assidu de Debrseoyir Dabiré comme beaucoup de lecteurs de Fasonet, mais aussi une vielle connaissance (j’étais en classe de 6è avec lui et depuis on ne s’est jamais perdu de vue), je me permets de lui proposer la démarche suivante, les choses au pays ne devant plus être comme avant :
1) Introduire une candidature formelle pour enseigner (à temps complet ou partiel) à l’Université de Ouagadougou, mais aussi dans d’autres institutions du pays.
2) Envoyer copie de cette candidature au Professeur Mahamadé Savadogo, éminent philosophe et patriote sincère, pour que celle-ci (la candidature) ne soit pas déclarée un jour "perdue" dans les sables du désert ou dans quelque tiroir de bureaucrate paresseux et incompétent,
3) Se rendre disponible à être au Burkina en temps utile pour qu’on ne t’oppose pas l’argument dilatoire de "on ne peut pas coiffer quelqu’un en son absence", si souvent entendu à propos des recrutements à l’UO.
Je crois, cher Debrseoyir, que ces propositions sont à étudier sérieusement, car elles vont dans le sens de l’histoire et du patriotisme, selon l’idée que nous en avons. Cela serait aussi une grande contribution à la lutte de notre peuple, car une bataille est certes gagnée, mais la lutte continue. Hasta la victoria, siempre !