Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Mon lieutenant colonel, en moins d’un mois vous avez fait montre d’un grand génie politique. Vous nous avez laissé entrevoir le grand stratège qui est en vous. Je m’en rend compte que ces nuits blanches passées à méditer " l’art de la guerre" de Sun Tzu ou encore " le prince" de Nicolas Machiavél vous ont porté beaucoup de tact.
Mais mon lieutenant colonel, avez vous lu ce livre que les burkinabè affectionnent tant. Ce livre qui circule même dans nos villages, ce livre que chaque jour tous les burkinabè lissent et qui s’intitule " Les conditions de vie du peuple burkinabè ".
Mon premier ministre permettez moi de m’inquiéter. Je m’inquiète du fait que vous n’ayez pas lu ce livre, je m’inquiète de vous voir passer la plupart de votre temps à échafauder des plans machiavéliques en oubliant de ce fait les attentes de notre peuple, je m’inquiète à l’idée que ce génie que vous possédez ne soit point en faveur du peuple.
Mon lieutenant colonel, j’ose espérer, même si une partie de moi me le défend, que cela n’est que pure inquiétude sans fondement.
Mon lieutenant colonel, en moins d’un mois vous avez fait montre d’un grand génie politique. Vous nous avez laissé entrevoir le grand stratège qui est en vous. Je m’en rend compte que ces nuits blanches passées à méditer " l’art de la guerre" de Sun Tzu ou encore " le prince" de Nicolas Machiavél vous ont porté beaucoup de tact.
Mais mon lieutenant colonel, avez vous lu ce livre que les burkinabè affectionnent tant. Ce livre qui circule même dans nos villages, ce livre que chaque jour tous les burkinabè lissent et qui s’intitule " Les conditions de vie du peuple burkinabè ".
Mon premier ministre permettez moi de m’inquiéter. Je m’inquiète du fait que vous n’ayez pas lu ce livre, je m’inquiète de vous voir passer la plupart de votre temps à échafauder des plans machiavéliques en oubliant de ce fait les attentes de notre peuple, je m’inquiète à l’idée que ce génie que vous possédez ne soit point en faveur du peuple.
Mon lieutenant colonel, j’ose espérer, même si une partie de moi me le défend, que cela n’est que pure inquiétude sans fondement.