Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Quelle éducation pour le Burkina Faso aujourd’hui et demain ?
22 novembre 2014, 02:56, par
Bala Wenceslas SANOU
Le développement de toute nation passe par deux éléments : l’éducation et la justice. Le Burkina ne peut y échapper. Il est capital d’approfondir la réflexion pour relancer la marche du Peuple burkinabè libéré de ses "Duvalier" vers un développement durable. Un Peuple éduqué (pas seulement instruit) se donne des chances de développement. De plus et en tandem, il faut une Justice juste pour que tous et toutes soient sur le même pied d’égalité. Blaise Compaoré et sa belle famille (à l’intérieur et à l’extérieur du Faso) avaient le monopole sur tout le pays, la justice compris. Et c’est ce qui explique en grande partie le vandalisme qui a accompagné l’insurrection populaire. La pourriture de l’appareil judiciaire pousse le citoyen de façon non légale à se rendre justice. Ceux et celles qui ont pris en otage notre appareil judiciaire sont responsables des actes de vandalisme à commencer par Blaise Compaoré et son frère cadet (une horreur humaine dont je me garde même de citer le nom). Reconstruire et relancer le développement du Burkina requiert à la base un système éducatif qui produit des citoyens actifs exerçant leurs devoirs citoyens avant de réclamer des droits quelconques. Et l’environnement social ne sera vivable que si le pays dispose d’une Justice au servir de la Vérité du Droit et non le service des puissances financières. Nettoyons sérieusement dans ces deux secteurs et nous réussirons une relance socioéconomique viable et vivable.
Le développement de toute nation passe par deux éléments : l’éducation et la justice. Le Burkina ne peut y échapper. Il est capital d’approfondir la réflexion pour relancer la marche du Peuple burkinabè libéré de ses "Duvalier" vers un développement durable. Un Peuple éduqué (pas seulement instruit) se donne des chances de développement. De plus et en tandem, il faut une Justice juste pour que tous et toutes soient sur le même pied d’égalité. Blaise Compaoré et sa belle famille (à l’intérieur et à l’extérieur du Faso) avaient le monopole sur tout le pays, la justice compris. Et c’est ce qui explique en grande partie le vandalisme qui a accompagné l’insurrection populaire. La pourriture de l’appareil judiciaire pousse le citoyen de façon non légale à se rendre justice. Ceux et celles qui ont pris en otage notre appareil judiciaire sont responsables des actes de vandalisme à commencer par Blaise Compaoré et son frère cadet (une horreur humaine dont je me garde même de citer le nom). Reconstruire et relancer le développement du Burkina requiert à la base un système éducatif qui produit des citoyens actifs exerçant leurs devoirs citoyens avant de réclamer des droits quelconques. Et l’environnement social ne sera vivable que si le pays dispose d’une Justice au servir de la Vérité du Droit et non le service des puissances financières. Nettoyons sérieusement dans ces deux secteurs et nous réussirons une relance socioéconomique viable et vivable.