Région du Nord : Le maire et le Président du Conseil Régional indésirables à Ouahigouya
19 novembre 2014, 01:12, par
LE PETIT
DEMANDE DE PARDON DE TASS TASS PRIS SUR SON MUR
Ma passion a altéré mon raisonnement, mettant ainsi en avant mes querelles individuelles au détriment du combat collectif.
A titre personnel, j’ai participé à toutes les marches de l’Opposition et de la société civile. Ce, jusqu’au 18 janvier 2014. ci joint photo
J’ai perçu la question sur un plan purement juridico-politique. De ce point de vue, les aspirations sociales, la très grande soif de changement de la nouvelle génération m’ont totalement échappé.
Les propos que j’ai tenus avant les événements du 30 Octobre dernier, résultaient de mes rancœurs et frustrations personnelles.
Je demande alors pardon à tous, pour avoir blessé de quelque manière que ce soit, par mes propos.
J’ai une pensée particulière pour les martyrs.
Mes sincères condoléances aux familles éplorées et prompt rétablissement aux blessés.
Encore une fois, PARDON.
Toutes mes excuses sincères à tous ceux qui ont été blessés, d’une manière ou d’une autre, surtout à mes camarades de la société civile, avec lesquels j’ai cheminé pendant longtemps.
L’homme est 9 mais jamais 10, dit- on. PARDON, encore une fois.
DEMANDE DE PARDON DE TASS TASS PRIS SUR SON MUR
Ma passion a altéré mon raisonnement, mettant ainsi en avant mes querelles individuelles au détriment du combat collectif.
A titre personnel, j’ai participé à toutes les marches de l’Opposition et de la société civile. Ce, jusqu’au 18 janvier 2014. ci joint photo
J’ai perçu la question sur un plan purement juridico-politique. De ce point de vue, les aspirations sociales, la très grande soif de changement de la nouvelle génération m’ont totalement échappé.
Les propos que j’ai tenus avant les événements du 30 Octobre dernier, résultaient de mes rancœurs et frustrations personnelles.
Je demande alors pardon à tous, pour avoir blessé de quelque manière que ce soit, par mes propos.
J’ai une pensée particulière pour les martyrs.
Mes sincères condoléances aux familles éplorées et prompt rétablissement aux blessés.
Encore une fois, PARDON.
Toutes mes excuses sincères à tous ceux qui ont été blessés, d’une manière ou d’une autre, surtout à mes camarades de la société civile, avec lesquels j’ai cheminé pendant longtemps.
L’homme est 9 mais jamais 10, dit- on. PARDON, encore une fois.
L’amour pour tous, la haine pour personne !
Que DIEU bénisse le Burkina !