Mon cher Hermann, Bado ! Te voilà. Je t’ai connu au Bog. Nous avons cheminé ensemble dans les mêmes classes durant trois ans, nous y avons même lié amitié. Je suis aujourd’hui content de te lire car je ressens le personnage toujours épris de justice que tu es quand je l’interview. J’ai vu les clichés où tu apparais lors de l’insurrection. Chapeau bas à toi et à toute la jeunesse qui a mouillé le maillot et certains même jusque qu’au sacrifice suprême. Que Dieu ait leurs âmes.
Plaise à Dieu, j’aurai l’occasion de t’en parler de vive voix et te traduire toute mon admiration quand je serai là. Ce sera certainement aussi l’occasion de se remémorer le bon vieux temps.
Dans cet espoir donc....
Mon cher Hermann, Bado ! Te voilà. Je t’ai connu au Bog. Nous avons cheminé ensemble dans les mêmes classes durant trois ans, nous y avons même lié amitié. Je suis aujourd’hui content de te lire car je ressens le personnage toujours épris de justice que tu es quand je l’interview. J’ai vu les clichés où tu apparais lors de l’insurrection. Chapeau bas à toi et à toute la jeunesse qui a mouillé le maillot et certains même jusque qu’au sacrifice suprême. Que Dieu ait leurs âmes.
Plaise à Dieu, j’aurai l’occasion de t’en parler de vive voix et te traduire toute mon admiration quand je serai là. Ce sera certainement aussi l’occasion de se remémorer le bon vieux temps.
Dans cet espoir donc....