Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Journées parlementaires du CDP : Outiller les députés pour aller au référendum
19 septembre 2014, 15:07, par
Kôrô Yamyélé
BILI-BILI, merci pour tes salutations. Je suis content. Oui, cette année risque d’être meilleure à l’an passé si on a au moins 2 ou 3 pluies. Mais elles doivent normalement bien s’espacer pour permettre la récolte des arachides et ne pas abimer le coton. BILI-BILI, chez toi dans le Sanguié, la saison sera excellente. J’y étais la semaine passée et en tant que connaisseur de la chose, il n’y a même pas de problème. Tes parents auront à manger cette année et ’’ils vont même se lapider avec le tô’’ comme vous les gourounsi aimez à le dire. Mais ce sont les funérailles qui gaspillent vos récoltes tout comme les dagaris aussi. Je conseille à tes parents de réduire le nombre de jours de funérailles ou de réduire le taux de bouftiffaille !! Il y a des gens chez vous même qui payent des sacs de sel et dispersent le sel dans la foule. Chez les dagaras, ce sont des cauries qu’on jette au public.
BILI-BILI, merci pour tes salutations. Je suis content. Oui, cette année risque d’être meilleure à l’an passé si on a au moins 2 ou 3 pluies. Mais elles doivent normalement bien s’espacer pour permettre la récolte des arachides et ne pas abimer le coton. BILI-BILI, chez toi dans le Sanguié, la saison sera excellente. J’y étais la semaine passée et en tant que connaisseur de la chose, il n’y a même pas de problème. Tes parents auront à manger cette année et ’’ils vont même se lapider avec le tô’’ comme vous les gourounsi aimez à le dire. Mais ce sont les funérailles qui gaspillent vos récoltes tout comme les dagaris aussi. Je conseille à tes parents de réduire le nombre de jours de funérailles ou de réduire le taux de bouftiffaille !! Il y a des gens chez vous même qui payent des sacs de sel et dispersent le sel dans la foule. Chez les dagaras, ce sont des cauries qu’on jette au public.
Par Kôrô Yamyélé