Le probleme au Burkina et comme partout en Afrique, ce n’est pas le manque de cerveaux. C’est l’absence de patriotisme, de sacrifice de soi pour le bien de son pays. Thomas Sankara est mort et le patriotisme avec. De nos jours, c’est l’individualisme, la course pour le gain facile, l’arrogance, la peur. Les Burkinabes ne meritent plus cette appellation. Comment comprendre que dans un pays de 16 millions d’habitants, on se laisse rouler par un ex capitaine niveau BAC ?
Le probleme au Burkina et comme partout en Afrique, ce n’est pas le manque de cerveaux. C’est l’absence de patriotisme, de sacrifice de soi pour le bien de son pays. Thomas Sankara est mort et le patriotisme avec. De nos jours, c’est l’individualisme, la course pour le gain facile, l’arrogance, la peur. Les Burkinabes ne meritent plus cette appellation. Comment comprendre que dans un pays de 16 millions d’habitants, on se laisse rouler par un ex capitaine niveau BAC ?