Le Balai citoyen se structure : objectif, terminus pour Blaise Compaoré en 2015

Bien dit. Je suis d’avis que vous. De nos jours il est sage de passer par des urnes pour remplacer un président que d’en faire autre. L’exemple de l’après Mohamar Kadhafi en Libye et de Moubarak de l’Egypte en confirme. Il serait mieux que ces soient disant leader de mouvements apolitiques ou de l’opposition apprennent à ce peuple non libres selon certains comment et qui choisir comme présidents sans oublier que diriger un mouvement ou un parti est différent de gouverner un pays. Notons que la paix sociale régnante au Faso est envieux par pas mal dans notre sous-régions africain et chaque citoyen burkinabè animé d’un esprit d’apporter un changement au bas peuple doit réfléchir comment la préserver.