Ecoles Franco-Arabes au Burkina : Etat des lieux et difficultés d’insertion des diplômés
30 mai 2013, 20:24, par
McArthur de Montréal
De toutes les façons, si ceux qui ont étudié 100% en français sont au chômage, ce ne sont pas ceux qui ont étudié 50% en français, 50% en Al Qaïda qui pourront avoir du travail même si on acceptait leur diplôme. Il faut se rendre à l’évidence. Ces écoles ne sont pas viables, mais comme c’est devenu le business de certaines personnes, (qui pourtant n’enverront jamais leurs enfants dans ces écoles), ils vont continuer d’envoyer les enfants des autres à l’abattoir. L’acceptation du diplôme ne résoudra pas le problème de leur chômage car la compétition est féroce et je doute fort que ces écoles puissent compétir à armes égales avec les écoles qui suivent le système classique.
De toutes les façons, si ceux qui ont étudié 100% en français sont au chômage, ce ne sont pas ceux qui ont étudié 50% en français, 50% en Al Qaïda qui pourront avoir du travail même si on acceptait leur diplôme. Il faut se rendre à l’évidence. Ces écoles ne sont pas viables, mais comme c’est devenu le business de certaines personnes, (qui pourtant n’enverront jamais leurs enfants dans ces écoles), ils vont continuer d’envoyer les enfants des autres à l’abattoir. L’acceptation du diplôme ne résoudra pas le problème de leur chômage car la compétition est féroce et je doute fort que ces écoles puissent compétir à armes égales avec les écoles qui suivent le système classique.