Lettre ouverte de l’UNIR/PS au Premier Ministre sur la grève du SYNTSHA
12 avril 2013, 21:16
Si l’acte de M. Kaboré est impardonnable, ce que je conçois aisément par humanisme en revanche, la sanction ne devait pas être prise par le Conseil des Ministre mais par son ministre de tutelle. C’est à se demander s’il y a un conseiller juridique compétent à Kossyam sur les actes administratifs. Légalité externe et interne nulles et de nullité absolue. Le bras de fer du gouvernement n’a aucun sens. On ne peut pas prétendre être médiateur dans les conflits internationaux et ne pas pouvoir régler à l’interne un conflit aussi mineure qui risque d’altérer durablement la santé des plus vulnérables d’entre nous. Pour un rhume , ceux qui ont les moyens vont dans les cliniques ou à l’étranger .
Si l’acte de M. Kaboré est impardonnable, ce que je conçois aisément par humanisme en revanche, la sanction ne devait pas être prise par le Conseil des Ministre mais par son ministre de tutelle. C’est à se demander s’il y a un conseiller juridique compétent à Kossyam sur les actes administratifs. Légalité externe et interne nulles et de nullité absolue. Le bras de fer du gouvernement n’a aucun sens. On ne peut pas prétendre être médiateur dans les conflits internationaux et ne pas pouvoir régler à l’interne un conflit aussi mineure qui risque d’altérer durablement la santé des plus vulnérables d’entre nous. Pour un rhume , ceux qui ont les moyens vont dans les cliniques ou à l’étranger .