Cinq ans après la mort du professeur Joseph Ki-Zerbo, où sont passés les « intellectuels africains engagés » ? (3/3)
13 décembre 2011, 21:28, par
optimdes
Bel article dans l’ensemble.
Cependant je ne suis pas d’accord avec Mr Jean-Pierre BEJOT lorsqu’il dit que la citation suivante n’est pas vraie : « Il n’y a pas un autre continent qui ait subi des épreuves de ce genre » (ce qui est loin d’être vrai).
Je partage l’avis du prof Ki-Zerbo que la plus grande responsabilite du sous developpement de l’Afrique revient avant tout aux Africains eux-meme. Mais de la minimiser l’impact de la Traite negriere, de la colonisation, de la décolonisation manquee (Lire a ce propos Rene Dumont dans L’Afrique noire est mal partie) et meme la neocolonisation a l’image de ce qui se passe dans les zones africaines regorgeant de ressources naturelles, je ne suis pas d’accord.
J ’aimerais qu’il m’apporte les preuves que d’autres continents ont subi de tel atrocites. Je ne parle pas de pays isoles ni de populations specifiques comme les autochtones de la Nouvelle-Zelande, Australie et Amerique du Nord ; mais de continent entier.
Sinon dans l’ensemble, j’apprecie les analyses de l’auteur qui est un fin connaisseur de l’Afrique et de la francafrique.
Bel article dans l’ensemble.
Cependant je ne suis pas d’accord avec Mr Jean-Pierre BEJOT lorsqu’il dit que la citation suivante n’est pas vraie : « Il n’y a pas un autre continent qui ait subi des épreuves de ce genre » (ce qui est loin d’être vrai).
Je partage l’avis du prof Ki-Zerbo que la plus grande responsabilite du sous developpement de l’Afrique revient avant tout aux Africains eux-meme. Mais de la minimiser l’impact de la Traite negriere, de la colonisation, de la décolonisation manquee (Lire a ce propos Rene Dumont dans L’Afrique noire est mal partie) et meme la neocolonisation a l’image de ce qui se passe dans les zones africaines regorgeant de ressources naturelles, je ne suis pas d’accord.
J ’aimerais qu’il m’apporte les preuves que d’autres continents ont subi de tel atrocites. Je ne parle pas de pays isoles ni de populations specifiques comme les autochtones de la Nouvelle-Zelande, Australie et Amerique du Nord ; mais de continent entier.
Sinon dans l’ensemble, j’apprecie les analyses de l’auteur qui est un fin connaisseur de l’Afrique et de la francafrique.