Affaire Justin Zongo : Les enseignements d’un procès
6 septembre 2011, 11:05, par
citoyen
Bonne analyse l’étudiant noir et j’ajoute "Dans cette affaire Justin Zongo et en dehors de toute autopsie, les experts qui ont défilé au tribunal n’ont pas pu affirmer avec certitude que la mort de Justin Zongo est liée à la gifle ou à des coups reçus. Seule l’autopsie pouvait permettre d’établir cela avec exactitude alors que le père de la victime a refusé l’exhumation du corps. Il était donc difficile dès lors d’établir un lien de causalité direct entre la mort de l’élève et la gifle ou les coups reçus." En matière de droit c’est le non lieu immédiat ! De toutes les façons que me jette la première pierre celui qui n’a jamais giflé quelqu’un ! Chers amis si gifler pouvait tuer j’aurais deja perdu ma femme, mes 2 enfants, mon voisin d’en face et ...mon deuxième bureau. Serieusement, reconnaissons que ces flics ont été sacrifiés pour preserver la "paix sociale ?"
Bonne analyse l’étudiant noir et j’ajoute "Dans cette affaire Justin Zongo et en dehors de toute autopsie, les experts qui ont défilé au tribunal n’ont pas pu affirmer avec certitude que la mort de Justin Zongo est liée à la gifle ou à des coups reçus. Seule l’autopsie pouvait permettre d’établir cela avec exactitude alors que le père de la victime a refusé l’exhumation du corps. Il était donc difficile dès lors d’établir un lien de causalité direct entre la mort de l’élève et la gifle ou les coups reçus." En matière de droit c’est le non lieu immédiat ! De toutes les façons que me jette la première pierre celui qui n’a jamais giflé quelqu’un ! Chers amis si gifler pouvait tuer j’aurais deja perdu ma femme, mes 2 enfants, mon voisin d’en face et ...mon deuxième bureau. Serieusement, reconnaissons que ces flics ont été sacrifiés pour preserver la "paix sociale ?"