Secteur n°21 de Bobo-Dioulasso : Les habitants mettent le feu à leur maternité
2 septembre 2011, 15:15, par
Anissal
Nice,je suis entièrement d’accord avec toi. Je me demande souvent si ces sages femmes ont conscience qu’elle joue avec la vie de nos femmes. J’ai été témoin de l’irresponsabilité de ces sages femmes. Heureusement que la situation que j’ai vu n’a pas tourné au drame. Il faut que les gens commencent à user de leurs droits chaque fois qu’ils sont victimes de la négligence de certains agents irresponsables. Je ne veux pas parler de mesures radicales comme celles de bobo mais de porter plainte en justice. Si quelques unes sont lourdement sanctionnées pour ce type d’actes, je crois qu’elles réfléchiront par deux fois avant de se comporter ainsi.Elles n’ont aucun respect pour nos pauvres femmes. Toutes les sges femmes ne sont pas ainsi mais il faut que le gouvernement ouvre l’oeil pour ne pas créer d’autres poches de mécontentement. La vie est chère en ce moment au Faso, si en plus de ça on doit aller mourir dans un centre de santé pour une simple négligence, je crois que nous n’avons plus de porte de sortie.
Nice,je suis entièrement d’accord avec toi. Je me demande souvent si ces sages femmes ont conscience qu’elle joue avec la vie de nos femmes. J’ai été témoin de l’irresponsabilité de ces sages femmes. Heureusement que la situation que j’ai vu n’a pas tourné au drame. Il faut que les gens commencent à user de leurs droits chaque fois qu’ils sont victimes de la négligence de certains agents irresponsables. Je ne veux pas parler de mesures radicales comme celles de bobo mais de porter plainte en justice. Si quelques unes sont lourdement sanctionnées pour ce type d’actes, je crois qu’elles réfléchiront par deux fois avant de se comporter ainsi.Elles n’ont aucun respect pour nos pauvres femmes. Toutes les sges femmes ne sont pas ainsi mais il faut que le gouvernement ouvre l’oeil pour ne pas créer d’autres poches de mécontentement. La vie est chère en ce moment au Faso, si en plus de ça on doit aller mourir dans un centre de santé pour une simple négligence, je crois que nous n’avons plus de porte de sortie.