Crise sociale au Burkina Faso : Le gouvernement est-il mené par le bout du nez ?
30 mai 2011, 23:27, par
Remi
Et tout ça vient du fait que le président a, au lendemain de la 1ère sortie des militaires, decidé d’accéder sans condition à leurs revendiquations. Le nouveau chef d’etat major repondra "circulez ya rien à voir" à la question de savoir le sort reservé aux milos pilleurs. L’enjeu était bien entendu de faire taire les armes. L’effet engeandré c’est la failllite de l’autorité de l’etat avec ses conséquences : aujord’hui après les enseignants le personnel de santé s’organise pour avoir du beurre sur leurs epinards comme quoi chacun aspire aux mieux être.
Et tout ça vient du fait que le président a, au lendemain de la 1ère sortie des militaires, decidé d’accéder sans condition à leurs revendiquations. Le nouveau chef d’etat major repondra "circulez ya rien à voir" à la question de savoir le sort reservé aux milos pilleurs. L’enjeu était bien entendu de faire taire les armes. L’effet engeandré c’est la failllite de l’autorité de l’etat avec ses conséquences : aujord’hui après les enseignants le personnel de santé s’organise pour avoir du beurre sur leurs epinards comme quoi chacun aspire aux mieux être.